Toi mon frère prend ma main. Que l’on part à l’aube de demain. Je ne souhaite pas en vingt. Juste un peu d’amour. Dans une coupe de vin. Allons dans la cour. Danser pour toujours. Pour incarner cette espace. A chaque pas de la valse. Faisons que la brume. Tournois en une écume. Eloignant les marteaux et têtes d’enclumes. N'acceptons pas leurs urnes. Empli de misère. Comme hier. Où des braves gens ont pris des prunes. Dansons, dansons. Jusqu’à les rendre con. Elevons-nous en des âmes sœur. Mon frère je n’ai en aucunement peur. De leur nauséabonde rancœur. Soyons juste toi et moi. Figer dans le temps avec foi. Pour qu’aucune loi. Ne puisse défaire notre croix.
