Les élus, Rien pour cet empire, ne songe à comparer tes cour Ni blâmes, ni Maîtresses, ni ce chien autour, qui Rien n’est encore pire, que lorsque tu ronge tes a Toi, mon aubépine aux vastes senteurs saline, par
M’attendra tu derrière, après l’ultime de la derni Du sable et de l’argile dans le sillon de ma mémoi Vastes oraisons, que le plus petit de tous mes frè O mon Abysse, fière et jouvencelle, de mon ennui, sonn
Mon cœur et le rocher qui baigne dans la source de ton C’est Ainsi que ma voix c’est liée à la tienne. Un seul chant coule dans le même sang, écrit notre ét Garde bien le secret, du parfum de notre poème, qui t’