Nuits blanches
Je pleure mon amour perdu, elle est partie,
Mes larmes égrènent des cascades d’amertume,
Cerveau se brise, peut être une encéphalopathie ?
De son sourire, il faut que je me désaccoutume,
Nuits blanches d’Amour, nuits blanches de solitude,
Dans mon esprit surgit une cruelle incertitude…
Patricia Barber pianote SUMMER BAMBA,
Dans mon walkman comme une douce litanie,
Oh ! Qu’il me pèse ce lourd célibat,
Mes membres s’engourdissent, une tétanie,
Nuits blanches d’Amour, nuits blanches de solitude,
Que je cherche dans mon cœur la quiétude…
Qu’ai je pu faire pour qu’elle me délaisse ?
Pourquoi m’a t elle raccroché subitement au nez ?
Dans mon cœur, je sens une vilaine faiblesse,
Dans nos projets futurs, je me suis enchaîné,
Nuits blanches d’Amour et de solitude,
Je nage dans carapace de mes pensées de cistude,
Doux souvenirs remontent à ma mémoire,
Tendres baisers, je sens sur ma peau,
Notre histoire se ferme comme un grimoire,
Des scories me grattent, comme des copeaux,
Blanches nuits d’Amour, blanches nuits de solitude,
Que mon cœur douloureux chante sa plénitude…
Je ne regrette rien, cet histoire d’amour m’a fasciné,
Même si j’ai parfois le cœur en peine,
Je retiendrais nos bêtises coquines au ciné,
Un rire surgit, tu seras toujours ma reine,
Blanches nuits d’Amour et de solitude,
Que mon cœur encombré me dénude de ma servitude…
De nouvelles routes s’ouvrent devant moi,
Un amour terminé n’est pas un amour perdu,
Délicieux souvenirs mettent mon cœur en émoi,
La vie continue ! De l’Amour, je suis éperdu…
Journées lumineuses où je recherche la plénitude,
Mon cœur à l’écoute d’une nouvelle béatitude…