O bonheur de te voir grandir Petite princesse de mes désirs O combien te voir découvrir la lumière M’a empli de joie, d’amour, de doutes et de colère
Tu as choisi ton heure, tu exiges la vie maintenant Tes batailles s’accélèrent, on entend ton empressement Vite, ce libérateur t’aide de ses fers Mais te fait mal de toutes ses forces
Je t’aime, j’ai mal, je ne sais plus que faire O combien j’enrage d’accepter De ne plus rien maîtriser De cette équation à la vie pourtant si claire
Te voici ma princesse mais tu ne bouges en rien On t’agite, on te bouscule pour ton bien Le temps s’arrête, moment de flottement Moment de néant
Puis, instants magiques, étincelle de vie Enfin, tu ouvres les yeux et tu cries
