N'avez-vous jamais vu la bête qui embrasse Tout comme l'aperçu ce coeur qu'elle fracasse N'avez-vous jamais tu cette aria maladive Que l'on voit revenue des parias excessive
Mais le sang s'enlace et glisse alors amoureux Et l'esprit s'en lasse et craque déféctueux Il donne l'espoir que c'est aux creux de nos mains Que nous sentirons passer au mieux le destin
Ce terrible refrain des vices éventrés Damnation de demain à l'horloge allumés Est ainsi devenu impossible à chanter
Et voici que mon âme aphasée en ses prunes Dilate et laisse apparaitre au claire de la lune Mon amie champètre abasourdie des lacunes!