Ô chants guerriers meurtris, aidez-moi à m’enfuir ; Capricieuse époque, ton but ? Nous nuire. Inlassable, lascive laisse, laisse-nous ! Ta bride me brime, cesse ton couvre-fou.
La seule poudre dans mon cocktail d’héroïnes Est le fard fatal des femmes de Verhoeven. Ajoutez les tourments d’une guitare de Queen, Et obtenez une pulsion de vie soudaine.
Qu’on m’arrache à ces écrans obnubilants, Où est passé ce « moi » tout pétulant ? Mes fougueux désirs et mon regard pétillant ? Ma joie de vivre, mes délires bienveillants ?