Plus rien ne scintille Dans ses yeux, C’est un soir de brouillard Au visage masqué Qui dissimule ses étoiles Derrière une fumée rouge ; Le ciel fait ressortir Des éclairs de colère, Ses veines gonflent Jusqu’à l’éclatement de la foudre Sur un chêne à bout de forces ; Rien ne dort A part le spectre Du mort Qui m’a donné vie ; Il est temps de rallumer Le flambeau de mes rêves, A nouveau Le phénix pourra Se réveiller.