Qu’il est funeste ce jour où j’ai gribouillé mes pleurs Ahanant le requiem du malheur; Même si près de vous en larmes je fonds, Et qu’en moi tout se confond, Je me souviens de ces jours anciens, où seul J’apprenais à lire sur les rides de mon aïeul Que la douleur laisse place à la douce nuit. Et si pour nous, un soir d’hiver, le ciel s’est obscurci Et si pour nous, ce jour, règne l’enfer Là haut, pour toi, le paradis s’est ouvert.