Libre pensée sur l’amie encensée Plaies de vie sur pétales de mémoire Je vous sens anorexique d’amours stressé Et boulimique de vif espoir Vous fuyez seule sur les chemins de traverse Courbant l’échine sous la pénible averse. Alors, j’enfuis le sensible espoir sourd De vous émouvoir, ne serait ce qu’un jour !