Les nuages sommeillent dans la vallée, Ce matin. Ils meurent sur les adrets et les ubacs Vaincus par de rares rayons de soleil. Je suis las et songe à votre écho à mon éveil Dans cette chambre meurtrie d’amours délaissés D’arrogance larmoyante du lovelace blessé. Mais l’ombre muette sur la par close Me laisse hagard face à la porte close. Ci-devant compagne, vous êtes Dès demain, j’irai avide de conquêtes.