Au delà d’elle, de l’autre côté de ses yeux, Il doit y avoir encore des châteaux de sable, Un peu de légende et de contes merveilleux, Tant de choses douces et de gens formidables.
Il y a de l’autre côté de son sourire, Sur un fil de vie des larmes qui sèchent. Légers vents de bonheur et tempêtes de souffrir, Une peau de bébé ou une joue rêche…
Plus loin que mes mains, de l’autre côté de son corps, Au fond de ces vallées, stagne t’il un nuage ? Une terre féconde, un ciel bleu tissé d’or Un amour qui dort, une étoile de passage ?
A un battement, sur l’autre face de son coeur, Dans le fragile, dans la lumière ou l’ombre, J’ai brisé mon esquif aux rochers du bonheur, Et son amour empêche chaque jour que je sombre.