Elle nous revient en pleine gueule. Nous qui sur notre superbe, Avions tant feint de l’ignorer. Son voile noir couvre nos villes. Le froid se répand sous ce linceul.
Un nouveau mur vient de tomber. La maison fragilisée vacille, Atone, sous les coups répétés D’un système bien mal maîtrisé Par des guides avides de blé.
Déjà, les machines s’arrêtent. Le rythme des cadences ralentit. Les bruits deviennent inaudibles. L’inquiétude obsède les esprits Le silence se fait pesant.
Les modèles ont implosés. Opposés, ils se faisaient front Combien d’hommes ignorants Se sont battus pour ces idées ? Faut-il craindre de recommencer ?
A situation irrationnelle Mesures, bien sur, exceptionnelles. Tous, en écho, se rassurent. Proposent leurs idées virtuelles, Camouflées des erreurs passées.
Nos lendemains se teintent de gris Un jour probable, il faudra payer. … La crise est là !