Tu n’hésite pas à traverser l’atlantique Sans l’ombre d’un doute Tu réponds a cet appel qui te dit “viens“ Ce langage qui te dépasse et qui t’emporte Dans un tourbillon mystique, Tu ne le comprends pas et c est très bien.
Combien de fois les choses ont elle été aussi claires ? Tu fends les eaux comme aux temps ou mollusque, crabe Planqueton tu baignais dans une irrépressible lumière Le jour tu suis le soleil, la nuit les étoiles Comme tout les voyageurs avant toi
Et lorsqu’enfin au sommet du torrent Ou se feront sentir ces odeurs familières Qui jalonne encore le cœur de cette rivière Ou tu connais le moindre rocher Tu abandonne le sel qui recouvre ta peau Et te brule les yeux pour venir brulante L’espace d un instant fugace découvrir Agonisante le mystère de dieu.