Il y a des plaies qui ne ferment jamais Ces plaies sont les plaies de l’amour On croit qu’on est guéri, qu’on est sauvé Mais la sanction retombe toujours sans détour
Il y a des maux qui ne s’éteignent jamais Ce mal est le mal de la solitude On croit qu’on trouve des gens, des vrais Mais tout reste toujours comme d’habitude
Ces peines sont les peines de la tendresse On croit que les larmes s’arrêtent de couler Mais le flot est intarissable, sans cesse