Mais que cessent ces immenses plaines noire vidées de joies. Mais arrêtez ces nuits vaines de désespoirs dénuées de rires Ayez juste un peu pitié d’un pauvre homme trop abandonné Ayez un peu d’amour à lui donner pour peut être le sauver
Mais que donc signifient ces amas béants de tristesse Mais quels sont donc ces abîmes infinis de souffrance Oui bien sur, il est comme tous les hommes Oui bien sur, il va mourir pour si peu
Il n’y a pas de trésors, pas d’îles paradisiaques Il n’y a assez de larmes pour toutes ces heures C’est le sombre profond de nos âmes oubliées Ces jours inhumains qui déforment nos visages
Puisque que la solitude est dans tous les regards Qu’elle dévore nos cœurs et ferme nos mains Laissez moi alors partir, ne me donnez donc rien Et pardon pour les yeux de tous ces enfants