Quel temps insoutenable et purement inhumain Me manquent tout de leurs joies et chagrins Enfants magiques, enfants uniques, de ma vie Rire et larmes en ces morbides instants sont partis
O mon dieu, décuple ma vaillance de résister A cette absence atrocement amère et décolorée Que les images de leurs yeux me remplissent De force et de courage pour ne point sombrer
Ma tête éclate d’imaginer leurs petites mains Qui demande et cherche le secret des chemins De la vie, si loin de me réponses et de mes câlins Mon esprit implose de les espérer ainsi en vain