Parce que bien sur il faut mourir pour renaître Dans le silence, loin des hommes, de tout êtres Tomber doucement dans l’oubli, sans aucune présence Dans les vastes plaines dévastées, dénuées de semences
Parce que bien sur, il faut mourir pour aimer vivre Dans la torpeur, loin de la chaleur qui enivre Glisser lentement dans l’horreur, sans aucune flamme Dans les profondeurs insondables dépourvues d’âmes
Regardez la bien mesdames et messieurs, elle est là Dans nos vies, tout près de nos moments de joie Faîtes attention, car si l’on n’y prête pas attention Elle nous enlève sans prendre aucune précaution
Si vous la regarder droit devant sans plier Dans le renoncement, le pardon et surtout l’humilité Vous trouverez juste à côté et sans difficultés Quelque chose qui ressemble au bonheur et à la paix