A l'ombre du vieux pommier, mon esprit se détend Car je suis seul et calme, assis dans l'herbe fauchée. J'aime entendre chanter les oiseaux. Finalement, Ces jolis petits êtres donnent joie et gaieté.
Derrière moi, j'aperçois de grosses chaumières Dont les habitants, heureux, préparent le repas. Des armées d'insectes se ruent sur des pommes amères, Mais moi, j'admire les nuages comme de puissants rois.
J'adore toucher la Terre, notre mère, à tous les hommes. Je lui fais des caresses, un plaisir d'amoureux Qui forme un esprit philanthropique économe.