Belle est la fleur des temps, et beau jour à venir, Aux prairies, coquelicots, ici ils s’embrasent, Au son de la trompette, où nos forêts s’arrosent, Au son des cornemuses s’embrassent l’avenir.
Oh ! que je t’aime bien, or douce et trait magique, Et bruyère de nos clavecins enchanteurs, Joue-toi piano, naissant toi magnifique, Ah ! Ombre éclairée à ces jours des labeurs.
Un lion mugit fort, cache ton carquois femme, Née inépuisable de secret tout en flamme, Vante une vie nouvelle, et déjà si longtemps.
Crescendo, et vas toi, et des milliers de temps C’est si simple une vie si pleine de bonheur Vie simple, tu vois, tu sais, pourquoi sœur dit en cœur