C'est le coeur brisé en miettes que je pars Laissant tomber, la face sombre et immonde Douleur de l'enfant qui par le simple regard Reflète un enfer impitoyable qui transcende
J'ai goûté aux mauvaises actions profondes Très tôt ou très tard, Il n'y a plus de lisières J'ai tout oublié de toi, de nous, du monde Le temps tente de laisser tout mourir derrière
Quand aucun soleil ne peut éclairer les flancs Que la montagnes avec ses herbes en mémoire La faux vient les couper, leurs cuisses en sang
Les cris des pétales dénudent les bourgeons Beauté humiliée, dénigrée, feuilles tremblant Marteau et enclume, femmes, nous songeons .