Dis, c'est comment la mort ? Te sens-tu bien là-bas ? Est-ce qu'on s'occupe de toi ? Est-ce qu'on t'a déjà dit quand je te rejoindrai Reprendre notre amour où nous l'avions laissé ?
Dis, est-ce que tu te souviens de notre vie sur Terre ? Dans les bras l'un de l'autre, prolongeant nos étreintes ! Ma plume écrit ces mots sans trop savoir comment Ils pourront te rejoindre Mais il faut que tu saches que ma peine est sévère !
Dis, dans ton paradis blanc... Y-a-t-il une porte d'où l'on peut s'évader ? Y-a-t-il des montagnes, y-a-t-il des vallées Où l'on peut se cacher ? Y-a-t-il des fontaines, y-a-t-il des rivières ? Y-a-t-il des oiseaux, des abeilles et des fleurs ? Ou doit demander à Saint Pierre ?
Les anges sont-ils gentils, ont-ils de grandes ailes ? Ou n'est-ce que des on-dit, dans un monde virtuel ? Vois-tu ma chère absente Il y a des jours parfois, où tout me parait beau ! Je ressens ta présence par delà mon épaule Alors, si tu peux lire mes mots
Lorsque viendra mon tour J'aimerai sentir ta main qui sur ma main me frôle ... Comme une bouteille à la mer, Je confie mon parchemin à l'univers ! A bientôt pour l'éternité, José