J’étais assise là, incomprise Ayant peur que par méprise L’on me croirait éprise De cette brise Qui me parfume de bise Relevé d’une odeur d’ozone Qu’une fine bruine dépose sur la zone Érogène de mes pensées.
OYÉ! OYÉ! À la volée Je partirai sans que vous ne le sachiez Loin de vos vies ennuyantes Pour parfaire la mienne festoyant.
Je vous écrirai au gré du vent Qui fait chanter les feuilles en soufflant Des cascades de mots à mes oreilles Libérant l’encre qui en moi sommeille Mon crayon poussé par les narcotiques Que j’en perds mon latin macaronique Ô!!! Bonne Sainte-Mère Libérez-moi de cet enfer.