Mes grands-pères voulaient y voir ‘La der des ders !’ Mes copains s’égaraient au sein d’un ‘Peace and love’ Mais Mars dans son ballet ne vit aucun revers Constamment sans arrêt cet hypocrite innove…
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Serai-je là pour voir quand il nous reviendra Le regard plein de morgue et le cœur plein de haine Car il faut le savoir la paix s’effondrera La guerre en un désir n’est jamais très lointaine…
Désir de posséder en fier dominateur C’est parfois dans le feu de toute une doctrine Que sait se décider l’acte spoliateur Qui se montre cruel par une onde chagrine…
Les Romains sont venus les Francs également Puis ce fut les Vikings toujours l’histoire saigne Par des flots continus qui généralement Imposent un accord qui pour quelque temps règne…
C’est dans ce tourbillon que notre horreur s’écrit Pour certains les lauriers pour d’autres la défaite Nous vivons un brouillon racontant notre cri L’homme cet écrivain n’a pas qu’une facette…
Un empire s’écroule un empire se fait On décore un héros que d’autres disent lâche Versatile est la foule et souvent en effet Plus d’un par avantage au plus puissant s’attachent…
Verrai-je de mes yeux s’abattre le malheur Comme il s’abat du reste ailleurs sur notre terre D’un regard oublieux beaucoup chassent le pleur Qui sait réapparaitre en brutal dignitaire…
Verrai-je mes enfants verrai-je aussi leurs fils Opprimés par ce joug -toujours tout recommence- Dans des maux triomphants desséchant l’oasis De leurs gentils bonheurs recherchant la romance…
Serai-je là pour voir Mars jouer du canon Le regard plein de morgue et de hargne inhumaine ? Qui donc a le pouvoir en plus de dire ‘Non !’ De vaincre enfin la guerre et d’étouffer la haine ?
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Mes grands-pères voulaient y voir ‘La der des ders !’ Mes copains s’égaraient au sein d’un ‘Peace and love’ Arès en son ballet se moque de mes vers Constamment sans arrêt dans son art il innove…
