La douceur de la chair est comme une oasis Dans un monde de bruit comme une mélodie Et lorsque de l’amour nous devenons les fils Alors tout doucement le bonheur irradie…
Tel un arpège offert flottant sereinement Qui sait couper de tout qui rend belle la vie Le regard qui survient affectueusement A suspendre le temps naïvement convie Dans un moment bonheur chantant l’étonnement…
La douceur de la chair au bal de l’éphémère Est le vol d’un oiseau qui monte et disparaît Un tout petit toujours de demain de naguère Un parfum une fleur avant le couperet…