Eloigné je te devine Mon ombre pleure orpheline Mais je vais te retrouver Pour vivre un bonheur rêvé…
La grâce de ton sourire Amoureux je la respire Par elle tout est plus clair Tout aussi léger que l’air…
Ton regard son innocence Sont fontaine de Jouvence Le temps comme suspendu Offre un instant distendu…
Magiquement le mot Femme Rime avec le terme flamme Sur ma peau vont tes cheveux En riant des désaveux…
Le feu d’une folle ivresse Nous enivre de tendresse Notre grand-huit tourne et va Dans l’onde d’un beau vivat…
Nos deux âmes fusionnent Le reste démissionne Dans la paix de ce creuset C’est toujours qui se revêt…
Elles vont épanouies Loin des peurs évanouies Dans un bel apaisement Vibrant amoureusement…
(1) Léonard Cohen – You have the lovers. « … Sa chevelure et sa barbe sont mêlées inextricablement Quand il pose sa bouche contre son épaule elle ne sait plus si son épaule a donné ou reçu le baiser. Toute sa chair est comme une bouche. Il promène ses doigts le long de sa taille et sent sa propre taille caressée. Elle le tient plus près et lui, serre ses bras autour d'elle. Elle embrasse la main à côté de sa bouche. Que la main soit à lui ou à elle, cela importe peu, il y a tant d’autres baisers. … »