Dans toute la rigueur de l’approximatif Je me laisse porter je cherche à désapprendre De la beauté sans fard vouloir juste s’éprendre En recherchant sa paix d’un esprit combatif…
Il en faut du courage -effort rébarbatif- Pour juste s’éloigner mais sans le moindre esclandre Un silence bavard dans le bruit sait s’épandre Parfois déstructurer n’est pas qu’abrogatif…
Sur un mur sans l’user s’agite et danse l’ombre L’homme valse sans fin que de pas en surnombre Que de reflets trompeurs qui captivent nos yeux…
La quête du réel -quelle est donc son essence- Doit-elle déclarer l’artifice ennuyeux Quand tout autour de nous vante l’invraisemblance…