L’angoissante solitude au cœur d’une peur d’ailleurs Est tempêtes et remous sur l’océan de la vie Qui nous feront échouer sous le regard de voyeurs Encore sur le bateau qui pourtant déjà dévie…
L’inconnu de cette plage alimente la rumeur Béatitude ou souffrance ou bien retour sur la terre Pour d’autres c’est le néant mais lorsque le futur meurt Tous devant notre présent craignons de nous en défaire…
Ce présent n’est que contraste où l’eau se marie au feu La haine épouse l’amour dans le juste et dans l’inique Pourtant puisse votre temps -devant Vous j’en fais le vœu- Etre proche du bonheur être distant du tragique…