Et s’émerveiller du temps effacé du pur retrouvé Comme sur une île au printemps d’avril -candeur juvénile- Le bonheur osé longtemps oublié restera gravé D’un regard fragile ôtant les périls dans l’heure immobile…
Partis les embruns et leur mauvais vin Au feu de l’amour quand il nous entoure De tous ses parfums d’un cri cristallin Qui chante le Jour l’instant se savoure…
Telle une faveur Sonne l’amnistie En douce ferveur En crainte engloutie…