Les batailles de l’intime Se font dans un grand écart L’apparence est au placard L’âme traverse un abîme…
Sous le joug d’un tourbillon Disparaît la retenue Le vieux cochon resurgit S’envole la bienséance Emportée aux quatre vents De redoutables solvants Dotés d’une belle aisance -Jamais elle ne rougit- Mettent la débauche nue Elle arrache son bâillon...
L’intime dans ses batailles Se ressent comme à l’étroit Quand s’échauffe le sang-froid Du revers de ses médailles…