Vos
poèmes

Dans l’appétit de posséder
L’homme convoite et l’homme avance
L’avidité -de connivence-
Est souvent là pour l’obséder…

Sournoisement c’est comme un piège
Qui se referme et le détient
Qui vient tisser un puissant lien
L’emprisonner d’un sortilège…

Et pour finir c’est le désir
Et son objet qui le possède
Existe-t-il comme un remède
Comment peut-il se ressaisir…

Oui pour finir c’est l’esclavage
Qui bien présent sait l’escorter
Lui qui cherchait la liberté
Que pense-t-il de son servage…

(Titre en écho d'un célèbre agraphon non canonique).