L’homme n’est qu’un empailleur Qui tout d’abord décervelle Aidé d’un bon baratin Puis un bourrage de crâne Vient remplir le ciboulot La sagesse alors prend l’eau Ne vibrant qu’en filigrane Comme sur un strapontin Seule sa folie excelle -Je l’aimerais orpailleur-
Ardent chercheur de pépites De la moindre qualité Qu’elle soit modeste ou grande Loin de toute propagande Salissant l’Humanité Qui se perd dans des faillites…