Une pudeur en muraille Ainsi qu’en faible refend D’un vénérable édifice Qui depuis toujours est là Qui dans le gris s’installa Intemporelle bâtisse Le silence triomphant En masque plus d’une faille…
Quand les traumas du passé Dans un faux calme sommeillent Laissons-les alors dormir -Toujours les tourments de l’âme Demeurent en amalgame- Ainsi que parfois frémir Rien jamais ne les balaye Rien ne peut les effacer…