La ‘lumière’ sait-elle approchant le savoir Que l’ombre méprisée est un écho d’essence Qui discerne cachée un peu de Connaissance Face à l’éventuel trop disent au revoir…
Dans un excès de forme une outrance de gnose Un abus d’exclusif l’intolérance naît Un schéma répressif qui pense être parfait Sait imposer sa norme et sans aucune pause…
C’est une tromperie un sentiment simplet Comment voir la statue à l’aspect de son ombre L’espoir est courbatu mais jamais il ne sombre Et va l’escroquerie au sinistre ballet…
La qualité des fruits permet de juger l’arbre Cela semble facile et pourtant bien souvent Le discours de Sybille a le goût de l’avent Il souffle dans la nuit pour ciseler le marbre…
Toujours s’entre tuer toujours assassiner Vérité pour mensonge échos des uns des autres La Paix demeure un songe a-t-elle des apôtres Sommes-nous englués dans un destin mal né…
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Mais qu’il est beau le rêve D’un monde sans conflit Où pas un n’est haï Que son soleil se lève !
Il n’est pas moribond Et sans grandiloquence Dans sa douceur qui panse Son baume n’est que bon…