Ton fantôme serpente au cœur de mes neurones Dans un rêve obsédant dans un cri lancinant Tu vas toujours pimpante et je vais déclinant Dans le jour descendant je perçois tous tes drones…
Au plus fort de la nuit mon être te ressent Il pleure ton absence et sa peine est intense Quand ton aura reluit c’est demain qui me tance D’une belle décence il tait son mauvais sang…
Puis le matin survient il me découvre blême Je me réveille moite au creux d’un trop grand lit Le rite quotidien m’habille en simili La clarté maladroite ignore ce poème…
Toujours elle fait mine D’un sourire surfait Et dépourvu d’effet Seul hier m’illumine…