Comme un rêve qui court sur de vastes prairies Les cheveux dans le vent la couleur plein les yeux Toute notre psyché loin de ces hystéries De ce gris de ce noir de ces jours ennuyeux Imagine demain roses rouges fleuries…
Dans ce rêve de Paix tout en sérénité Se révèle le sens baptisé d’harmonie Acclamé d’un ‘Enfin !’ -brillante acuité- Où tous les éléments dans une symphonie Savent chanter la vie en innocuité…
Mais le rêve avorté dans la mort et le sang Salit notre présent -costume sur squelette- Son éternel discours au sourire indécent Se révèle toujours qu’inutile amulette Le reflet du futur se meurt déliquescent…