Comme un ange déchu l’homme vit au Tartare Son rêve est éternel euthanasier la mort Mais du fil barbelé -cordes de sa guitare- Auréole Pluton qui devient son mentor Il secrète du fiel se conduit en barbare…
Il construit des fusils dans des projets haineux Il soulage et guérit dans un bel altruisme Hier comme aujourd’hui sombre puis lumineux Il paraît indécis pris dans un dualisme Trop souvent son esprit se révèle épineux…
De ses blancs de ses noirs il n’est jamais avare De toutes ses erreurs jamais il ne démord Qui perçoit tous les pleurs de la sœur de Lazare Depuis toujours il n’est que boussole sans nord Comme un ange déchu l’homme meurt au Tartare…