Vieillard tranquille en apparence Mais qui connaît le mot souffrance Et la force de l’endurance…
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Le corps âgé n’a plus vingt ans Il peine un peu de temps en temps Mais le regard scintille encore Il fait plaisir il revigore
Bien sûr parfois quelques soucis Sculptent des jours bien obscurcis Mais un moral fort les domine La chose en est presque anodine
Telle est la vie avec des hauts Avec des bas et des chaos Mais ce constat livre un message Ce grand chemin sait rendre sage…
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Vous fréquenter c’est un honneur Un bienfait de grande valeur Et disons même un vrai bonheur…
Nota : ce poème est né d’une ‘commande’ formulée par courrier. « (…) nous allons honorer 5 nonagénaires. Ces ‘90 ans’ sont des gens encore chez eux, joyeux, conviviaux. Auriez-vous un poème ? (…) ?
