Lorsque le corps n’est que passé Dans un présent fait de souffrances Dans un mental tout agacé Dans le creuset de ces errances L’esprit blessé supplie ‘Assez…’
Assez la vie elle est finie Tout se termine et dépérit Fini le temps de l’harmonie Voilà celui qui nous meurtrît Voilà celui de l’agonie…
Tout le bonheur est effacé Ne serait-il qu’évanescence Que la mort vient dédicacer Que penser de son indécence Lorsqu’elle vient nous enlacer