Au pays sans souci c’est sensas et sans sexe Et le contraire aussi -le tout reste complexe-…
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Vivre comme un ascète adieu la libido La chair et ses désirs c’est fini c’est rideau Se révèle autre chose éternelle innocence Dans un détachement dans une indifférence
Vivre pour le bas-ventre au sein d’un toujours plus L’avoir pour seul salut pour unique angélus Dans la dévotion du corps de son orgasme La chimie au pouvoir ‘gérant’ l’enthousiasme…
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Une dualité communique en duplex En langage crypté -mystérieux cortex-...
Nota : poème écrit suite au procès de Pierre Palmade -grand utilisateur de drogues sexuelles- et de celui intitulé « Viols de Mazan » (affaire Pelicot -époux droguant sa femme pour ensuite la livrer en pâture-). En symétrie je me suis souvenu d’un sondage IFOP de début d’année « La “sex recession” : les Français font-ils moins l’amour ? » (06/02/2024). ‘Voir’ également « Vivre sans sexualité », France Culture.