Vos
poèmes

Avant on s’illusionne à penser
Que dans ce besoin fascinatoire
Du plaisir à haute intensité
Le boss sera notre bon-vouloir,

Mais c’est oublier la dépendance
Qui sans être conviée apparait
Pour dicter le rythme et la fréquence
Du rêve qui est plus qu’un attrait,

On découvre le manque et ses affres
Sueur souffrance malaise et angoisse
Notre être devient une balafre
Et une seule idée nous tracasse,

Un fait s’impose il faut une cure
Pour casser la douleur infernale
Strident cri qui ronge et qui et fissure
Dans une obsession phénoménale,

Rapidement le sevrage agit
Mais reste à jamais le souvenir
D’un bien-être dans un paradis
Bien plus fort que le banal plaisir…