Vos
poèmes

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Musique splendide
A l’accent candide

Elle retentit
Petit à petit

Le corps obélisque
Devient basilique

Loin du pointillé
Du temps maquillé

Qui de nous se moque
Et qui nous révoque

Le chant de l’Enfant
Gomme le néant

Nos aïeux murmurent
Contre la souillure

Venus de Lascaux
Loin des quiproquos

Vous montrez que l’Art
Perce le brouillard

La déconfiture
De notre nature

Vient nous attrister
L’Art est invité

A ne pas se taire
Le temps délétère

Alors disparaît
Dans un grand secret…