Parce-que trop souvent je touche le réel Comme un figurant et sans y être vraiment Parce-qu’une image du bonheur l’est déjà Les racines de mon existence c’est toi T’imaginer est une onde qui gentiment Me dit quand tu es loin que ma vie est partielle…
Je suis traversé par un sentiment de paix Qui délicatement m’effleure et me caresse Je te devine et te rêve toute en tendresse Et je sens ton âme près de moi très très près…
Lors mes incertitudes Font place à la quiétude… Emoi et plénitude…