Vingt-quatre heures de plus vingt-quatre heures de moins Cela va cela vient mais c’est la même chose Notre œil pour observer connait bien des recoins La subjectivité se consomme en surdose Et notre jugement refuse les témoins…
Idem pour les pays docteurs es propagande Un soleil un objet pour du sombre et du clair Honorable médaille affreuse réprimande Au grand bal des discours le mensonge fait chair Abreuve le bon peuple encore il en demande…
En doux fils de Narcisse ils n’aiment qu’une idée Toujours les dictateurs se baignent dans le sang Leur baratin s’écrit de fureur débridée Ils ont leur propre cour -gargarisme indécent- La Liberté se meurt constamment lapidée...
Les cris de ses enfants demeurent dans mes pleurs Ils traversent le temps sempiternels stigmates L’identique poison de différents dealers Transforme les humains en simples automates La mort sait se servir de ses yeux enjôleurs…