Sur la surface de l’eau Le bleu du ciel se reflète L’avenir semble assuré Il dispense des caresses Éliminant les détresses Ce rêve sait augurer Bien des lendemains de fête -Mais fictif est le tableau-…
Car l’étendue est amère Le grand regard abyssal De séduisantes sirènes Dupent les navigateurs En reflets peu salvateurs Ainsi qu’en vagues pérennes... Et le pire est leur vassal Dans un après éphémère