Combler réjouir une solitude Se fait avec peu même avec très peu En fait un beaucoup -traîne d’hébétude- Éternelle grâce éternel aveu Une onde en bouquet fleurs de plénitude…
Une chevelure autour d’un regard Et puis une bouche une silhouette La vie en rosée aube et faire-part -Comme un ciel d’été pour une mouette- Sait être cadeau précieux nectar…
S’éveille un écho qui doucement vibre Nourrit d’un parfum gentil délicat Loin du compliqué le simple équilibre Il sait nous donner son certificat Un petit bonheur qui volette libre…
Inconsciemment tout pudiquement Presque malgré soi du beau se devine Le corps de la Femme est enivrement Jazz vif vigoureux comme sonatine Respectons la note amoureusement…