Un réveillon pour oublier Pour s’étourdir dans une ivresse Pour se mentir dans un déni Dans un instant que rien ne presse Où l’important n’est qu’un rimmel Qu’un tourbillon qu’une allégresse Qui part en spam comme un e-mail Qui meurt sans âme et qui s’affaisse Dans le matin tout démuni... Soleil éteint brouillasse épaisse Sous l’aiguillon du sablier