Le grand huit de la chair son éternelle ivresse Même un cœur en jachère aspire à sa caresse Il monte dans le ciel vers des hauts sans débat L’émoi passionnel en est toujours béat…
Est oublié le temps emporté par la ronde L’être va haletant dans le charme d’une onde Cadeau de l’existence aimant être cueilli La question du sens non jamais n’y vieillit…
Profondeur d’un regard qui traverse les âges La vie est là sans fard se moquant des usages Toujours comme en tous lieux universellement L’air enfin radieux fait l’émerveillement…
La douceur au pouvoir d’un baiser se professe Alors elle aime croire en l’Amour qui ne cesse La beauté de ses ‘Ho !’ fait oublier le bas De ce qu’est notre lot qui finit en trépas…