Une première fois une dernière fois Viennent pour s’imposer sans nous offrir de choix -Le beau chant du futur va nous laisser sans voix-...
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C’est le regard qui s’ouvre et puis qui se referme Il faut bien un début comme il faut bien un terme Un jour sonne la vie un autre vient la mort - Le dévoué Chronos est dans l’import-export -
Idem amour et haine idem concorde et guerre Individus pays dans un large inventaire Une large palette offrent du contrasté Où le paradoxal est plus que constaté…
Et cela vaut pour tout sans oublier le reste En excès le parfum finalement empeste L’existence est aussi ce qui nous fait mourir Un splendide horizon finit par s’assombrir…
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Jean qui pleure et qui rit s’enivre d’une danse Un tristounet tango qui trompe l’innocence Où Certitude et Doute assurent la cadence…
Nota : Ce poème a obtenu une "Mention spéciale" au 'Concours Georges en Poésie 2024'