Que j’aime la pudeur -Réserve habituelle- Qui devient sensuelle En gardant sa candeur…
Tout ce qui se dévoile N’osant pas se montrer Encore trop cloîtré Brille comme une étoile…
Devenant un autel Cette audace pudique Au bout du compte abdique Succombant à l’appel…
Le Vrai qui là se montre N’est pas un pis-aller Restant inégalé Nul ne peut lutter contre…
Notas : Depuis 1967 -date de sa sortie sur le premier disque de Léonard Cohen-, le morceau « Hey, That's No Way to Say Goodbye » est toujours présent en moi. Toujours avec le même plaisir je l’écoute. Toujours son charme agit pour me séduire… Sa magie reste intacte… Le poème ci-dessus est né (en interprétation libre puisque le sens des paroles est tout autre) de la pudique sensualité vibrant dans les belles images des deux vidéos construites à partir de cette chanson : • YouTube - Elysse777 - The Art of Self-Mastery, • YouTube - marie maurice I. Le titre vient de la Bible : « Que ses seins te rassasient constamment, enivre-toi sans cesse de son amour ! » Prov 5:19