Une Femme dans la nuit Chasse le poids de l’ennui Tout le poids de l’existence Parfois bien lourde sentence Dure compétition Vaine figuration La risette à la commande Est un peu comme une amende…
Une Femme qui sourit Sait chasser le jour aigri Son amour et sa tendresse Forment une forteresse La douceur de son regard Reste une muse de l’Art Son souffle est une musique Qui sait nous rendre amnésique…
Une Femme ouvrant les bras Eclipse les apparats Sa nudité sensuelle Fait qu’elle demeure belle Magicienne en amour Elle tait le temps qui court Deux êtres qui fusionnent Et tout se solutionne…
Une Femme adroitement Fait de Kronos son amant Pour le réduire au silence Pour en faire sa pitance Et dans sa féminité Un éclat d’éternité Alors subitement brille Enfin notre peur vacille…
Une Femme dans la nuit Chasse le poids de l’ennui Apaisement désirable Sachant être véritable Dans la réciprocité Et dans l’authenticité Mais que celui qui l’espère Dans le respect soit sincère…